Notre voyage du jour au sortir de la maison Dagan nous conduit chez Denoël pour la suite du Tour des maisons d’éditions du Jifa Bookclub qui nous permet de dérouler la sélection de notre club de lecture en passant par les éditeurs ayant publiés nos écrivaines.
Zoom sur Denoel
Date de création : 1930
Genre : Littérature française, Littérature étrangère, Policiers, SF, Documents, Beaux livres, Romans graphiques, Papeterie, Vie pratique
Collections : Romans français, Denoël & d’ailleurs, Présence du Futur, Lunes d’encre, Hors collection, Humour, Impacts, Sueurs Froides, Bibliothèque Médiations, Médiations, Denoël Graphic, Empreinte, L’Espace analytique, Les Lettres nouvelles, Romans traduits, Albums et Beaux Livres, Documents et Présences
Denoël autoportrait (source : denoel.fr/La-maison-d-edition.com)
Depuis 1930, Denoël propose une littérature engagée, française & étrangère, imaginaire & noire, ainsi que des essais & documents. À travers ses différentes collections, la maison publie une cinquantaine de titres par an. En fiction française, Denoël joue depuis toujours un rôle de découvreur, aussi bien dans le domaine du roman littéraire que dans celui du thriller ou du roman d’aventures.
Denoël et moi
Parmi les ouvrages de cet éditeur que j’aime relire mon doigt se promène de Khadi Hane à Teju Cole, en passant par Alberto Moravia, Anita Desai, Arto Paasilinna, Eduardo Sacheri, Henry David Thoreau, Henry James, Irène Nemirosky, Lucia Etxebarria, Pier Paolo Pasolini et last but not least Sarah Waters.
Pour la petite histoire : J’ai lu cet essai adolescente dans sa version co-publié, je garde le souvenir d’une photo en noir et blanc d’une femme à lunettes sur un fond verdâtre à tendance sépia qui prenait la poussière au dernier niveau de la bibliothèque paternel. Deux guerres civiles auront eu raison de ces archives, je n’ai jamais retrouvé cet exemplaire de La parole aux négresses qui comme tous les ouvrages d’auteurs et d’autrices du continent était dédicacé à mon père. Sniff ! Lors de la composition de notre sélection, je confesse avoir dû revêtir les atours de Mamy Wata pour inclure cet essai à notre challenge. Tout ou presque rebutait mes complices, le genre, le titre, la couverture et last but not least, l’indisponibilité de l’ouvrage ou alors sa disponibilité à un tarif léonin. Nous touchons presque au terme de notre saison de challenge sans avoir pu organiser une lecture commune suivi de discussions. Rien n’y fait, mon ardent désir omniprésent explore trois pistes : les alertes créées sur la toile, un rapprochement informatif auprès de l’autrice suivi d’un éclairage “apud editor”. C’est une histoire à suivre.
Envie d’en savoir plus ? Cliquez sur le titre pour découvrir l’article de la présentation de l’éditeur
La parole aux négresses : Awa Thiam
J’adorerais savoir si vous aussi avez quelques ouvrages des éditions Denoel sur vos étagères, on en parle dans les commentaires cher.e.s lecteurs et lectrices adoré.e.s ?
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