Chers lecteurs et lectrices adoré.e.s, dans cet article 15 aout 2022 : 8 autrices congolaise à (re)LIRE, ma chère complice Kiminou Caroline vous dévoilait l’un de mes rituels. En effet, en tant que fille du royaume Kongo née à Mfoa, j’ai toujours associé (à tort ou à raison) la fête de l’indépendance au dernier jour de la révolution à savoir les trois glorieuses du 13, 14 et 15 août 1963. Parce que ce pays a traversé plusieurs guerres fratricides, une grande partie de la population et de la diaspora a perdu l’estime, l’amour et la confiance. C’est compréhensible, ce qui l’est aussi, c’est la survivance de quelques irréductibles partisan.e.s qui voient le verre à moitié plein et croient au génie congolais. C’est à ceux et celles que je connais que j’envoie quelques belles réalisations glanées ici et là sur la toile accompagnées de ces mots de Gandhi qui traduisent mieux que je ne le puis faire pour l’instant, le fond de ma pensée :
“Quand je désespère, je me souviens que tout au long de l’histoire, la voix de la vérité et de l’amour a toujours triomphé ; Il y a eu dans ce monde des tyrans et des assassins, et pendant un moment ils peuvent sembler invincible, mais à la fin, ils tombent toujours.”
Cette année, j’ai également posté cette vidéo sur le compte Instagram du Jifa Bookclub suggérant de (re) lire huit ouvrages d’autrices de notre sélection qui battent pavillon congolais : Black In The City (Marie-Inaya Munza), Chêne de Bambou (Liss Kihindou), L’or des femmes (Mambou Aimée Gnali), La boue de Saint-Pierre (Ralphanie Mwana Kongo), Lady Boomerang (Marie-Léontine Tsibinda), Ma chrysalide est devenue papillon 20 ans après (Milie Théodora Miere), Nika L’Africaine (Aurore Costa) et Polygamiques (Nathasha Pemba).
Avez-vous quelques un de ces ouvrages cher.e.s lecteurs et lectrices adoré.e.s. ? Peut-être d’autres écrivaines congolaises ? Si le cœur vous dit de partager vos impressions, je vous espère dans les commentaires !
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