Après Hoëbeke notre escale du jour dans le cadre du tour des maisons d’éditions nous amène chez Interligne, toujours avec l’idée de vous faire découvrir les 57 ouvrages de la sélection 2020/2021 du Jifa Bookclub en passant par le prisme de leurs éditeurs.
Interligne autoportrait (Source ; interligne.ca/a-propos/)
Apparue dans la capitale canadienne, en 1981, pour assurer la continuité de la revue des arts Liaison (1978-2018) et la production d’ouvrages historiques, L’Interligne est devenue, avec 500 publications, un repère de la scène littéraire nationale.
À l’affût de voix authentiques, L’Interligne mise sur des œuvres franco-canadiennes pluriculturelles qui se démarquent par leurs préoccupations contemporaines et leur originalité stylistique, et trace de multiples avenues qui mènent les auteurs à la croisée de leurs publics.
L’Interligne publie divers genres littéraires – romans, nouvelles, poésie, théâtre et essais pour adultes, et fictions pour la jeunesse.
L’Interligne adhère à une conception humaniste libérale, par l’intégration d’auteurs issus de différentes communautés culturelles, dont les LGBTQ, les personnes sourdes et handicapées, et les groupes minoritaires.
Pour découvrir l’autrice de notre sélection publié par Interligne, cliquez sur le titre.
Lady Boomerang : Marie-Léontine Tsibinda
Plusieurs ouvrages me font de l’œil chez cet éditeur Cantate pour un soleil et Yennenga de l’autrice Burkinabé Angèle Bassolé-Ouédraogo que j’envisage de soumettre à mes complices pour la seconde saison du cénacle qui lit les autrices africaines.
Dites-moi tout cher.e.s lecteurs et lectrices adoré.e.s, avez-vous entendu parler des éditions Interligne ? Connaissez-vous Marie-Léontine Tsibinda ?
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