En mai, fais ce qu’il te plaît, dit l’adage populaire. J’avoue y être d’autant plus sensible que c’est mon mois favori. Entre nous soit dit, j’ai fait mienne cette maxime pour l’année entière depuis fort longtemps. Sourires ! À mois exceptionnel, choix exceptionnel : je ne vous propose rien de moins que les précieux mots de l’une de mes autrices favorites de notre sélection, j’ai nommé Liss Kihindou.
Mais je manque à tous mes devoirs ! Si vous nous découvrez par cet article, mieux vaut tard que jamais : bienvenu.e.s sur le blog du Jifa Bookclub, le cénacle qui lit les autrices africaines. Je vous invite à faire le tour du propriétaire pour piocher votre prochaine lecture au cœur de notre sélection de 57 ouvrages.
Lorsque nos emplois du temps respectifs nous le permettent, certains lundis, mes complices Caroline, Gabriella et Mawuli et moi nous relayons pour vous suggérer, selon notre inspiration du moment, une citation en lien avec la littérature, la lecture et/ou les livres.
En ce premier lundi de mai, je vous entraîne dans le roman épistolaire Chêne de bambou qui a fait l’objet de lectures communes et de discussions en janvier et février 2021. Pour ce faire, j’ai opté pour un extrait d’une réponse de Miya à Inès :
Si l'écriture coule vraiment dans tes veines, il n'est pas une barrière qui puisse empêcher ce flux de s'épandre sur le papier et produire des oasis rafraichissantes pour les lecteurs. Share on XIl faudrait lire l’ensemble de cette correspondance pour prendre toute la mesure de leurs échanges sur la littérature, l’écriture et le syndrome de l’imposteur qui taraude de nombreux auteur.e.s. Cet ouvrage a été une rafraîchissante oasis à laquelle je m’abreuverai de nouveau cet été.
En attendant de vous retrouver dans un prochain article, je souhaite cher.e.s lecteurs et lectrices adoré.e.s que le mois de mai nous régale de lectures qui nous emportent vers des horizons captivants, remplis de découvertes, de réflexions et d’enchantement.
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