Parmi les rituels enchanteurs du blog du Jifa Bookclub et d’autres espaces que je prends plaisir à alimenter, le lundi se pare des couleurs chatoyantes des citations. Mais attention, chez nous, pas de chichis, on s’refile quelques bons mots, dictons et autres phrases qui font mouche, d’écrivain.e.s, issus de tous les horizons et âges.
Depuis l’année 2013, le mois de juillet est inextricablement lié à Aoua Keita, ma muse suprême, et au 31 juillet, date de la Journée Internationale de la Femme Africaine (JIFA), créée à son initiative et menée tambour battant aux côtés d’autres militantes.
En ce premier lundi de juillet, ce sont les mots du poète Rodney Saint Eloi qui se prêtent le mieux à exprimer la tonalité de mon humeur actuelle et ce que je ressens à chaque plongée dans les œuvres des écrivaines africaines, celles de notre sélection, mais pas que…
J'habite le monde, de livre en livre. Chaque auteur m'amène vers une nouvelle errance. La possibilité d'un monde neuf. Une angoisse de plus. Un chemin de plus à parcourir. Share on XLes mondes me possèdent dès lors que je m’y plonge, c’est du frisson pour sûr. Pourtant, je n’anticipe jamais d’anxiété, pas question de me laisser bouffer par des montagnes de flippe, çà n’empêche que je me trouve quand même inévitablement captivée par les errances que j’explore de page en page. Allez comprendre ! SouRIRES !
Et vous, chères lectrices et chers lecteurs adorés, comment interprétez-vous cet extrait? Je vous espère dans les commentaires !
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