Est-ce qu’en ce moment votre flair vous indique qu’un changement d’habitudes pour vos prochaines lectures serait une bonne idée ? Dans l’affirmative, je vous propose de puiser dans notre sélection de 57 livres. En effet, au Jifa Bookclub, on vous offre un éventail d’écrivaines africaines aux univers et styles aussi divers que captivants. Pour faciliter votre choix, on vous présente quelques revues repérées sur la toile.
J’espère que vous vous laisserez tenter par le retour de lecture d’André Clavel dans le Temps, un média suisse polyvalent, paru le 3 juin 2016 sous le titre évocateur “Taiye Selasi et bourrasques de l’exil”. Un avis de velours qui vaut le détour ! SouRIRES !
Voici un extrait pour vous ouvrir l’appétit :
Un père ghanéen, une mère nigériane, une naissance à Londres – en 1979 –, une enfance dans le Massachusetts, des études de littérature à Yale, la turbulente et très prometteuse Taiye Selasi est un trait d’union entre trois continents. De quoi écrire sous le signe du métissage en abolissant les frontières de l’imaginaire, comme le prouve Le ravissement des innocents, un premier roman déjà traduit en dix-sept langues. Ce qu’y raconte Taiye Selasi, c’est l’histoire disloquée d’un couple d’immigrants qui se sont installés aux États-Unis au début des années 1970. Une période de vaches maigres, avant que l’époux – Kweku Sai, d’origine ghanéenne – ne termine ses études de médecine pour devenir un brillant chirurgien, surnommé «l’artiste du scalpel». Avec son épouse nigériane Fola – «une guerrière née, indomptable» –, ils élèveront quatre enfants et, brutalement, sans donner d’explications, Kweku plaquera …
Pour lire l’intégralité de son retour de lecture cliquez ici : Taiye Selasi
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