Si le Jifa Bookclub se propose de lire les ouvrages d’auteures africaines, à quoi rime cette invitation à ouvrir une page au hasard ?
Pour s’adonner à la stichomancie ? Oh que non !
Pour s’inscrire dans le sillage des prix des pages 111 et 112 ? Bien sûr, mais alors uniquement dans une dimension parallèle. SouRIRES !
Ben quoi alors Grace? Qu’est ce que c’est que cette foutu incursion en page 31 ?
Bien, che.r.e.s lecteur.trice.s adoré.e.s, je vous la fais courte, enfin je vais essayer !
A l’exception de mon comité de lecture du premier roman de Chambéry, tous les clubs auxquels j’ai participé ces dernières années se ressemblent par un trop plein de sérieux qui frise l’ennui.
Pour éviter cet écueil, j’ai imaginé cet exercice qui n’est rien de plus qu’une tentative d’ajouter une touche de cocasserie un brin potache à cette aventure livresque.
Pourquoi la page 31 plutôt qu’une autre ?
Là encore, je suis pas allée chercher très loin.
Primo : le 31 juillet est la date célébrant la Journée Internationale de la Femme Africaine.
Deusio : la militante féministe, syndicaliste et députée malienne Aoua Keita qui en fut l’instigatrice est la muse de ce club de lecture, puisqu’au départ mon idée était d’organiser une lecture commune de son autobiographie Femme d’Afrique suivie d’une rencontre pour en discuter.
Conclusion : En choisissant de voir ce qui se cache derrière les pages 31 des ouvrages de la sélection, je m’offre et vous propose un ticket vers l’inconnu.
Une seule règle pour y prendre un peu de plaisir : ne s’attendre à rien, être prêt.e à tout accueillir.
Allez zou, je vous emmène che.r.e.s lecteur.trice.s adoré.e.s ?
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