Parce que le Jifa Bookclub vous convie à piocher vos prochaines lectures dans sa sélection de 57 livres, nous rediffuse quelques revues dénichées sur la toile, pour satisfaire celles et ceux qui aiment lire quelques avis avant de faire leurs choix.
C’est la sixième analyse de la prolifique auteure, critique littéraire et blogueuse Liss Kihindou que j’ai le bonheur de relayer par ici. Si je lui sais gré de la découverte de la saga Nika l’Africaine imaginée par Aurore Costa, une fois n’est pas coutume, ce n’est pas sur son inestimable blog “Valets des Livres“ que j’ai débusqué la revue du jour, mais sur le non moins précieux site Congopage.
Voici un extrait de sa revue publiée le 8 juillet 2007:
Quel était le visage de l’Afrique avant la déportation de ses enfants ? Comment les familles ont-elles vécu cette séparation forcée ? Comment les Blancs apparurent-ils aux Africains ? Qu’est-ce qui constitue ou constituait l’âme de l’Afrique ?
Voilà quelques unes des racines qui ont donné naissance à Nika l’Africaine, un bel arbre de 520 feuilles qu’on dévore avec gourmandise. Son auteur, Aurore COSTA, l’a planté aux sources de la colonisation et de l’esclavage. C’est l’Afrique d’avant le développement des villes au détriment des campagnes qu’elle nous fait revivre, l’Afrique rurale telle que l’ont connue nos grands-parents. Aurore COSTA s’est d’ailleurs inspiré des histoires que lui contaient ses deux grand-mères africaines pour écrire son roman.
C’est aussi la volonté d’offrir aux enfants nés en Europe, mais dont les parents viennent d’Afrique, la possibilité de….
Pour lire l’intégralité du compte-rendu cliquez ici : Aurore Costa
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