Femme de lettres gabonaise, Angèle Rawiri est née le 29 avril à Port-Gentil. Je sais infiniment gré à Daniel Kamwa acteur et réalisateur camerounais d’avoir mis en ligne l’entretien qu’il a réalisé en septembre 1990. Quelle émotion indescriptible que de voir Angèle Rawiri évoquer sa relation à l’écriture, ses motivations à aborder des thèmes alors (et toujours) tabous sur le continent africain.
Malgré son décès prématuré à l’âge de 56 ans, l’écrivaine nous a laissé trois ouvrages. Si malheureusement le premier Elonga est indisponible en ligne, j’espère pouvoir mettre la main sur un exemplaire du second G’amèrakano au carrefour.
En attendant de partager mes impressions de lectures, ce 29 avril 2020 est l’occasion rêvée de lui allumer symboliquement une soixante sixième bougie d’anniversaire.
Son roman «Fureurs et cris de femmes » fait partie de la sélection du Jifa BookClub. Pour voir la présentation que nous proposons sur le site cliquez ici → Angèle Rawiri
Pour regarder la conversation entre Daniel Kamwa et Angèle Rawiri publié sur You Tube en janvier 2016, cliquez ici → Emission Vidéo Lire
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