Qu’on se le dise, le Jifa Bookclub vous invite à piocher vos prochaines lectures dans sa sélection de 57 livres. Pour faciliter cette démarche, nous relayons quelques revues dénichées ici et là sur internet pour satisfaire ceux et celles d’entre vous qui aiment se faire une idée avant d’acheter un livre.
Je sais gré de ma découverte au podcast littéraire Akwabook qui recevait Meriyem Kokaina initiatrice de la plateforme Au pays du baobab pour un échange livresque fort passionnant. A la suite de cette écoute, je n’ai eu de cesse de naviguer sur cette mine d’or à la fois culturelle et littéraire. C’est ainsi qu’en fouinant dans la rubrique consacrée aux chroniques littéraires, j’ai débusqué l’admirable analyse proposée par Meriyem Kokaina sur Le viol de l’imaginaire, magistral essai de la malienne Aminata Traoré.
Voici un extrait du compte-rendu publié le 31 octobre 2019.
Me baladant dans les allées de la bibliothèque, un livre rouge flamboyant attira mon attention. Je me penche et lis la première de couverture. Il y figure le titre : Le viol de l’imaginaire.
J’ai tout de suite su que ce livre fera partie de ma sélection, il est tout à fait en ligne avec certaines réflexions que je me faisais sur la destruction de l’identité africaine. Un peu plus haut, le nom de l’auteur : Aminata Traoré. Aminata Traoré est un nom qui résonne au Mali. Je la connaissais de part mes recherches où son personnage de femme engagée ressortait souvent. Elle faisait également partie du …
Pour lire l’intégralité de l’analyse cliquez ici : Aminata Traoré
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