Le club qui lit les autrices africaines

Citation Leila Slimani : la littérature comme espace de liberté

Après le plaisir procuré par une virée virtuelle au salon du livre féminin de Dakar et les passionnants échanges du Festival du premier roman de Chambéry en mai, j’accueille le mois de juin avec serenité et curiosité. Si vous nous découvrez par cet article, sachez que chaque lundi, sur le blog du Jifa Bookclub, nous réservons un espace dédié aux mots inspirants d’auteur.e.s venant de tous horizons et époques. Citations, adages, proverbes et autres perles littéraires s’entrelacent pour éclairer nos esprits et nourrir notre passion des mots dans notre aventure livresque autour des écrivaines africaines.

Pour trouver l’inspiration en ce premier lundi de juin, j’ai puisé dans l’escarcelle de Leïla Slimani, me remémorant avec extase ma lecture quasi apnéique de son premier roman, “Dans le jardin de l’ogre” que j’ai hâte de relire cet été.

Parce qu'elle est un immense espace de liberté, où l'on peut tout dire, où l'on peut côtoyer le mal, raconter l'horreur, s'affranchir des règles de la morale et de la bienséance, la littérature est plus que jamais nécessaire. Share on X

Au diable, censure, peur et nombrilisme soporifique, que vive la littérature qui aborde des sujets tabous, met en scène des personnages controversés et dévoile les aspects les plus sombres de la condition humaine.

Et vous cher.e.s lecteurs et lectrices adoré.e.s, quelle littérature vous attire le plus ? Au sein du Jifa Bookclub, nous cultivons le fait d’accepter de ne pas être accord, alors si le coeur vous dit de partager votre ressenti, je vous espère dans les commentaires.

En attendant nos prochaines retrouvailles, je nous souhaite une semaine pleine de lectures riches de différentes réalités qui élargiront notre compréhension de l’humanité.

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