Le club qui lit les autrices africaines

Citation : les morts sont les livres

En ce premier lundi du mois qui inaugure l’automne, tandis que chacune de nous vaquent à ces projets personnels, nous consacrerons le mois d’octobre à organiser la pause du Jifa Bookclub. Comment maintenir les publications sur le blog, diversifier notre présence sur les réseaux et enfin mettre en route “Le livre voyageur” du cénacle qui lit les autrices africaines ? Parce que je crois plus que jamais à la puissance de la littérature, à la force des mots, nous trouverons l’organisation qui nous conviendra à toutes les quatre.

Si vous nous découvrez par cet article, sachez que les lundis sur le blog du Jifa Bookclub, nous faisons une place aux citations, adages, proverbes et autres bons mots d’auteur.e.s de tous horizons et siècles.

Faisant partie d’un comité de lecture du Festival du premier roman de Chambéry, j’’ai puisé l’inspiration du jour à la faveur d’un coup de cœur pour La nièce du taxidermiste, qui n’a eu de cesse de me donner envie de relire Nina Bouraoui, ce que je vais faire jusqu’à la Saint-Sylvestre. Un petit challenge personnel pour le plaisir, je vais commencer par La voyeuse interdite, puis suivront Garçon manqué, Poing mort, Mes mauvaises pensées et Tous les hommes désirent naturellement savoir. En attendant nos retrouvailles livresques, voici une citation débusquée sur la toile, j’avoue ne plus me souvenir de ce passage des Mauvaises pensées. Oups ! Je vais pouvoir le vérifier, mais avant, je vous la soumets

Nina Bouraoui ne pouvait mieux traduire ma pensée lorsqu'elle écrit : Je ne sais pas si on doit parler des morts au passé. Les morts sont chaque fois ressuscités par notre langage, par notre manière de les raconter, ce sont eux les… Share on X

Qu’en dites vous, cher.e.s lecteurs et lectrices adoré.e.s, avez-vous également quelques morts qui sont des livres ? Parlons en à l’occasion, je vous espère dans les commentaires.

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