Le club qui lit les autrices africaines

Citation : quand James Baldwin parle de lecture

Octobre a été un mois introspectif, studieux et heureux. A nous deux Novembre, me voilà fin prête à sociabiliser à nouveau.

Ayant appris à ne m’en faire que pour ce que je maîtrise, je m’en tiens à mes rituels et celui du lundi est précieux puisque le blog du Jifa Bookclub, c’est le moment dévolu aux citations, adages, proverbes et autres bons mots d’auteur.e.s de tous horizons et siècles.

Hier encore, celui auquel j’emprunterai la citation du jour naissait dans une Amérique ségrégationniste où planait à tout instant la peur d’être molesté par les autorités policières ou pendus à un arbre par le KKK, c’est le même qui écrivit Si Beale Street pouvait parler et Harlem Quartet. Si vous n’avez encore jamais lu James Baldwin, écoutez le face à la poétesse Nikki Giovanni lors d’un entretien télévisée de près de deux heures, si sa perspicacité, la douceur de son sourire et l’immense tristesse de ses yeux ne vous donnent pas envie de le lire, tant pis pour vous ! SouRIRES !  Voyons ce que vous inspire ceci :

Vous pensez que votre douleur et votre chagrin sont sans précédent dans l'histoire du monde, puis vous vous mettez à lire disait l'auteur de La chambre de Giovanni et L'homme qui meurt qui meurt. MERCI James Baldwin. Share on X

Mon mot d’ordre pour novembre : dire MERCI le plus souvent possible, en avez-vous un cher.e.s lecteurs et lectrice.s adoré.e.s ?

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