Iyoooo hier, c’était la présentation de la dernière barde de la première édition du Printemps des poetesses du Jifa Bookclub sur Instagram avec une dame que j’admire énormément, Nadia Origo poétesse, romancière, essayiste, entrepreneuse fondatrice de La Doxa Editions et du Magazine Reflets. J’avoue que meme si je la suivais beaucoup sur Facebook à une époque, bien avant mon mariage et les enfants, c’est surtout l’éditrice et l’entrepreneuse que j’avais en tête, elle postait beaucoup sur son travail dans les coulisses, et beaucoup de petits messages, des citations pour garder le cap et rester concentrer dans ce qu’on fait avec toujours une fidélité à nous mêmes et à notre foi.
Surtout, allez lire la presentation de Grace Bailhache, c’est super complet, il suffit cliquer sur l’image.
Son dernier recueil
Présentation
Poétiser pour poétiser n’a guère d’intérêt pour moi.
C’est l’essence prophétique
de la poésie qui m’interpelle
à l’exemple de cette “Poésie
de la concorde” :
Sonnez du chofar, larguez
les amarres
Aurore Aurore, dévoile-toi
Aurore Aurore, révèle-toi
Aurore Aurore, réveille les endormis
Aurore Aurore, redresse les endoloris
Aurore Aurore, remodèle les indécis
Aurore Aurore, reformate les incirconcis
Aurore-moi
Aurore-nous
Aurore-les
Resplendis !
C’est avec plaisir que je l’ai en fait redécouverte grace au portrait de la big boss, et j’ai ajouté son dernier recueil 7 fois 77 foi (s) dans la liste de mes prochains achats livresques.
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