Le club qui lit les autrices africaines

Mars au féminin 2023 : Adama Sissoko

Les festivités de Mars du Jifa Bookclub le cénacle qui lit les autrices africaines ont commencé sur Instagram le 1 mars, et hier c’était le début de notre MARS AU FÉMININ livresque avec Adama Sissoko autrice du récit L’insignifiante publié aux éditions La kainfristanaise.

Cliquez sur l’image pour accéder à la présentation faite par Grace Bailhache sur Instagram

jifa bookclub presentation mars au feminin mami wata adama sissoko instagram portrait


Son roman

jifa bookclub mars au feminin  adama sissoko l insignifiante


Présentation de l’éditeur

A peine diplômée d’une école de commerce, Adama est recrutée par une chaîne hôtelière de luxe pour un poste aux Etats-Unis. Elle quitte son Nanterre natal pour Baltimore. La jeune femme noire empreinte de sa culture française nous entraîne, sans concession et avec beaucoup d’humour, dans les coulisses de l’hôtellerie de luxe, sa rigueur organisationnelle, ses savoir-faire, son faste. Microcosme multiethnique où se mêlent des employés venus des quatre coins du monde.
Dans une écriture vivante et dynamique, l’auteure projette son regard sur la société américaine, son rapport au travail, sa culture. Sa vie en marge des hôtels oscille entre road trip et histoires d’amour, rêves et désillusions. Ces expériences confrontent la jeune femme à elle-même, à son histoire, ses valeurs, son identité française de fille d’ immigrée. Adama n’oublie pas d’où elle vient. L’ Insignifiante est, avant toute chose, le récit d’une jeune femme animée par un désir d’être et une furieuse soif de vivre.
Elle choisit de s’inventer en abordant de front les obstacles qui se dressent sur son chemin. Plutôt que d’attendre devant les portes fermées de son rêve français, elle décide de tenter son american dream. Roman d’apprentissage, L’Insignifiante est aussi le récit inspirant d’une jeunesse en quête d’avenir et en lutte pour une place décente dans un monde qui n’est pas encore tout à fait prêt à l’accueillir.

J’aime l’idée de son récit autobiographique, elle me donne des vibes du roman Americanah de Chimamanda Ngozi Adichie. Si il est traduit en anglais, j’aimerais beaucoup le lire, c’est pour moi de plus en plus intéressant de lire des narratives de la génération Y d’afropéens.

Add Comment

Your email address will not be published. Required fields are marked *