Le club qui lit les autrices africaines

Symphonie littéraire : lire selon Ken Bugul

On dit souvent qu’on ne change pas un rituel qui gagne. C’est pourquoi, fidèles à cette maxime, nous continuons de consacrer nos lundis aux citations, adages, proverbes et autres bons mots d’auteurs et d’autrices de tous horizons et siècles. Mais ce lundi 1 juillet 2024, c’est bien plus qu’un simple rituel : c’est une célébration spéciale, puisqu’il s’agit de l’annonce de notre retour en ligne prochainement sur Instagram pour apporter notre contribution livresque à la Journée Internationale de la Femme Africaine (J.I.F.A), une date qui résonne profondément en nous. Alors, pour donner le là de notre mois favori au club, il me fallait les mots d’une autrice exceptionnelle, et j’ai choisi Ken Bugul, dont la plume m’a ensorcelée dès ma première lecture de “Riwan”, et qui depuis occupe une place privilégiée dans mon panthéon féminin africain. Pour des raisons techniques, j’ai tronqué sa citation, parce qu’il fallait choisir, mais l’essentiel est là : fleuri, evocateur, exigeant et intransigeant, du Ken Bugul en somme.

…un livre est comme une composition musicale. Un livre a un son. Certains livres n’en ont pas c’est pourquoi même quand c’est bien écrit, on ne peut plus continuer après quelques pages. Share on X

Chers lecteurs et lectrices, avez-vous aussi cette oreille livresquement musicale ? En attendant de vous lire, je vous souhaite une belle journée et une semaine inspirante.

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