Après Gallimard, notre nouvelle escale nous conduit chez Héloise D’Ormesson dans le cadre de notre un tour des maisons d’édition, celui là même qui nous permet d’explorer les 57 ouvrages la sélection du Jifa Bookclub en passant par le prisme de ceux et celles qui les publient.
Zoom sur Héloïse D’Ormesson
Slogan : La petite maison d’édition qui a tout d’une grande
Date de création : 2004
Genre : Littérature générale
Héloïse D’Ormesson autoportrait (source : www.editis.com/maisons/eho/ )
Chez EHO nous revendiquons notre éclectisme en fiction française, étrangère et non-fiction. Riche d’un large panel d’auteurs – de la très internationale Tatiana de Rosnay à l’immortel Jean d’Ormesson, en passant par le prix Nobel de la paix Wangari Maathai –, nous avons fait le pari de nous inscrire dans une littérature décloisonnée où chaque voix affirme sa singularité. Avec une vingtaine de titres par an nous désirons publier moins pour publier mieux et privilégions la proximité et la convivialité avec tous les acteurs de la chaîne du livre : auteurs, libraires et lecteurs.
Héloïse D’Ormesson et moi
A l’exception de Wangari Maathai, je n’ai trouvé sur mes étagères que Lucia Etxebarria comme ouvrage publié par cette maison. Ceci étant dit, “Quand il fait triste bertha chante” de Rodney Saint-Eloi est dans ma liste depuis que j’ai manqué le Bookclub de Perler les pages. Ce titre m’attire toujours autant, il va falloir que je me dépêche de faire connaissance avec Bertha. SouRIRES !
Envie de (re)découvrir l’ouvrage publié par Héloïse D’Ormesson ? Cliquez sur le titre pour accéder l’article de présentation du blog.
Celle qui plante des arbres : Wangari Maathai
Et vous cher.e.s lecteurs et lectrices adoré.e.s, dites-moi tout, avez-vous lu Wangari Maathai ? Cette maison d’édition est-elle présente sur vos étagères ?
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