[Longue liste Saison 2] Ce qu’il nous reste – Aissata Sissoko

Pour la quatrième étape de notre voyage vers la saison deux du Jifa Bookclub, je suis enchantée d’inclure “Ce qu’il nous reste” par Aïssata Sissoko à la longue liste des ouvrages à lire et à discuter en 2024-2025. Bien que publié de manière indépendante, la thématique et la structure narrative sont autant d’elements qui ont motivé mon choix, mais pas que… Eh vouih, mes très cher.e.s lecteurs et lectrices, comme vous le constaterez dans cet article Le printemps des poétesses : Aissata Sissoko , que j’apprécie également l’éclectisme de cette Slasheuse alternant plusieurs casquettes.

Présentation : Ce qu’il nous reste

Genre : Récit
Nombre de pages : 296
Editeur : LPA (Auto-édition)
Parution : 27/07/2020

Résumé :

Bocar et Madina représentent ces hommes et femmes d’Afrique qui ont quitté leur famille et leurs amis pour tenter de mener une vie meilleure de l’autre côté de la Méditerranée, en France. Chacun d’eux raconte ce qu’il lui reste, de son enfance au Mali, de ses rêves et des espoirs qu’il a fondés sur la France, ce pays dans lequel ils ont construit une famille. Naba, leur fille cadette, représente cette dualité culturelle. Elle nous livre la façon dont sa double culture a influencé son enfance, son adolescence et sa vie d’adulte.
A travers les parcours de vie de Bocar, Madina et Naba, le lecteur retrouvera divers sujets relatifs à l’immigration, la double-culture, la transmission culturelle, la banlieue ou encore l’estime de soi.

Bio express : Aïssata Sissoko est une autrice passionnée d’art et d’écriture depuis son enfance. Elle a toujours considéré l’écrit comme le moyen d’expression le plus libre qui soit. Ses écrits répondent avant tout à son besoin de décrire des réalités sociétales profondes et de susciter des réflexions individuelles et collectives. C’est à travers le récit, le roman et le poème qu’elle espère marquer durablement ses lecteurs. Elle utilise ses personnages comme des ambassadeurs de partage et d’espoir.