Le Jifa Bookclub, le cercle qui lit les autrices africaines, est en plein préparatifs pour sa saison deux. Dans cette démarche, chacune des quatre membres présente sa longue liste d’ouvrages qu’elle aimerait voir figurer parmi ceux que nous lirons et discuterons en 2024-2025. Ma cinquante-sixième recommandation est “La dernière lettre” de Salla Dieng, une écrivaine repérée sur la plateforme dédiée aux gazouillis à une époque où, elle partageait ses lectures de quelques extraits d’ouvrages qui l’avait marqué. Plus tard, en tombant sur ce premier roman, charmée par son titre, je m’étais promis de le lire. C’était il y a près d’une décennie. SIC ! Entre nous, chers lecteurs et lectrices adoré.e.s, j’ai la conviction qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire, et puisque le moment semble propice, je m’y engouffre plutôt deux fois qu’une ! SouRIRES !
Présentation : La dernière lettre
Genre : Roman
Nombres de pages : 180
Editeur : Présence Africaine
Parution : 10/03/2008
Résumé :
La narratrice, Salimatou, qui finit de purger une longue peine de prison, se décide enfin à écrire à son ami d’enfance de toujours, Serge, pour lui avouer les raisons de ce long silence. Ce premier récit de Salla Dieng, jeune Sénégalaise, étudiante en sciences politiques, se situe dans la veine d’Une si longue lettre de Mariama Bâ, à qui elle rend un hommage sans détour.
Bio express : Rama Salla Dieng est une universitaire sénégalaise, militante féministe. Actuellement maîtresse de conférences en Développement International et Etudes Africaines à l’Université d’Edimbourg, elle a co-dirigé un ouvrage sur la parentalité féministe, Feminist parenting, publié chez Demeter Press et a écrit un roman, La Dernière Lettre, publié chez Présence Africaine en 2008.
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