Si le Jifa Bookclub se propose de lire un maximum des 57 ouvrages de notre sélection d’autrices africaines, nous profitons de chaque opportunité pour vous les présenter autrement. Le défi aoutien est une invitation à prolonger les célébrations 2021 de la Journée Internationale de la Femme Africaine initiée en 1962 par Aoua Keita et d’autres femmes militantes panafricaines, en faisant une incursion sur les réseaux sociaux, plus particulièrement en déroulant une sélection de revues ou brèves présentations postées sur Instagram.
Je suis passé par mille et une émotion en naviguant à la recherche de nos autrices adorées. SouRIRES !
VOICI LES 38 OUVRAGES dont je vais relayer les revues publiées sur Instagram.
Interpellé.e.s par un titre ? Cliquez dessus pour en savoir plus.
Afropean soul et autres nouvelles : Léonora Miano
Black In the City : Marie-Inaya Munza
Boy, Snow, Bird : Helen Oyeyemi
Ce soir je fermerais la porte : Edna Merey-Apinda
Celle qui plante des arbres : Wangari Maathai
Celles qui attendent : Fatou Diome
Chêne de bambou : Liss Kihindou
Chinongwa : Lucy Mushita
Citoyen de seconde zone : Buchi Emecheta
Coeur tambour : Scholastique Mukasonga
Douceurs du bercail : Aminata Sow Fall
Femme d’Afrique la vie d’Aoua Keita racontée par elle-même : Aoua Keita
Il nous faut de nouveaux noms : No Violet Bulawayo
Je te le devais bien : Flore Hazoumé
L’aide fatale : Dambisa Moyo
L’autre moitié du soleil : Chimamanda Ngozi Adichie
L’or des femmes : Aimée Gnali Mambou
La boue de Saint-Pierre : Ralphanie Mwana Kongo
La maison des épices : Nafissatou Dia Diouf
La parole aux négresses : Awa Thiam
Le bonheur comme l’eau : Chinelo Okparanta
Le collier de paille : Khadi Hane
Le roman de Pauline : Calixthe Beyala
Le viol de l’imaginaire : Aminata Traoré
Le livre de Memory : Petina Gappah
Le ravissement des innocents : Taiye Selasi
Les cris de l’innocente : Unity Dow
Les valeureuses – Cinq tunisiennes dans l’histoire : Sophie Bessis
Marou : Bessie Head
Mon royaume pour une guitare : Kidi Bebey
N’Être : Charline Effah
No home : Yaa Gyasi
Qui a peur de la mort ? : Nnedi Okorafor
Sincères condoléances : Gisèle Totin
Sous le regard du lion : Maaza Mengiste
Tristesse au Paradis : Grâce Minlibé
Une si longue lettre : Mariam Bâ
Vert cru : Touhfat Mouhtare
Vous ne nous suivez pas encore sur Instagram ? C’est le moment d’y remédier. 👉🏾 Instagram
Nous ferons des clins d’œil à l’édition 2021 de la JIFA 2021 en septembre et octobre sur les réseaux par le biais d’autres évènements.
Add Comment