Voici la suite de ma liste de livres d’autrices africaines que je plébiscite pour qu’ils fassent partie de la longue liste de la saison 2 du Jifa Bookclub. À la quatorzième position se trouve Le Minaret de Leila Aboulela, une autrice dont j’ai entendu parler par la reine Grace, mais que je n’ai pas encore lue. Je me suis dit que ce serait la parfaite occasion pour le faire.
Présentation : Le minaret
Titre original : “Minaret” été publié par Bloomsbury en 2005 .
Genre : Roman
Nombres de pages : 315
Traduction : Aline Azoulay
Editeur Français : Flammarion
Parution : 09/01/2006
Résumé :
Najwa est soudanaise, issue d’une famille riche. Son père est haut placé dans le gouvernement. Une vie insousciante jusqu’au jour, un coup d’état dans le pays détruit l’harmonie familiale. Le père, soupçonné de corruption est assassiné et la famille fuit à Londres. Nawja est entraînée dans le malheur, sa mère meurt, son frère jumeau fait de la prison. Deux histoires d’amour vont bouleverser la vie de la jeune femme et c’est dans la religion musulmane qu’elle va se reconstruire.
Bio express : Leila Aboulela est une écrivaine soudanaise qui écrit en anglais. Née en Egypte elle a a grandi à Karthoum au Soudan. Elle y poursuivit ses études à L’école américaine de Karthoum puis à l’université et obtint un diplôme en statistique à La London School of Economics. Elle vécut à partir de 1990 à Aberdeen où elle commença à écrire et y demeura plusieurs années (deux de ses romans se passent en Ecosse, Le musée et La traductrice). Entre 2000 et 2012, elle vécut à Djakarta, Dubaï, Abu Dhabi et Doha.
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