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[Longue liste Saison 2] L’écriture du corps féminin dans la littérature de l’Afrique francophone – Nathalie Etoke

L’écriture du corps féminin dans la littérature de l’Afrique francophone” de Nathalie Etoke, ma quarante-deuxième recommandation pour la saison deux du Jifa Bookclub, réunit tous les éléments qui m’inspirent. Le titre à lui seul justifie l’expansion de nos discussions. Le nom de l’autrice ne m’est pas inconnu, mais je n’avais encore jamais eu l’occasion de la lire, par ailleurs elle n’était plus apparue dans mes principaux radars, jusqu’à ce qu’à la faveur d’une collaboration, la merveilleuse Nathalie Ahanda autrice du “Le Guide des prénoms africains” ne recommande un autre de ses essais. Et voilà comment je tombe sur une pépite à laquelle, je vais accorder toute mon attention, avec ou sans mes complices actuelles. Don’t Acte !

Présentation : L’écriture du corps féminin dans la littérature de l’Afrique francophone au sud du Sahara

Genre : Essai (broché)
Nombres de pages : 170
Editeur : L’harmattan
Collection : Enseignement et éducation en Afrique
Parution : 01/06/2010

Résumé :

L’écriture du corps féminin dans la littérature de l’Afrique francophone au sud du Sahara problématise les modes de représentation du corps féminin. Ce corps existe-t-il en soi et pour soi ? Est-il uniquement le signifié stable de l’oppression féminine et de la résistance au patriarcat ? A partir d’analyses détaillées, cet ouvrage examine les dichotomies, les ambiguïtés et les discontinuités inhérentes aux écritures africaines du corps féminin. Corps où se confondent et s’affrontent de multiples discours sur le nationalisme, la violence, l’identité et le désir.

Bio express : Nathalie Etoke enseigne la littérature et le cinéma de l’Afrique francophone et de la diaspora à Connecticut College (Etats-Unis). Ses recherches interdisciplinaires portent sur l’écriture du corps féminin, les études LGBT, la melancholia africana, les formes musicales nées de l’expérience africaine en Amérique, l’immigration, la dislocation existentielle et l’identité.

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