Et si vous choisissiez votre prochaine lecture dans la sélection de notre club de lecture ? Pour vous y accompagner nous postons régulièrement des revues glanées ici et là sur la toile.
La plateforme “Afrolivresque”, co-crée par Acèle Nadale, compte parmi mes adresses littéraires favorites sur la toile. C’est donc avec un plaisir non dissimulé, que je suis tombée sur une pépite de compte rendu de Zila Aset sur Magenta Opus I : L’enfant et l’orchestre, premier volet de la trilogie urbaine de Sokhna Diarra Bousso Ndao.
Voici un extrait de son analyse publiée le 6 juin 2017:
L’essentiel de cette trilogie romanesque se résume à la symbolique de la couleur choisie comme titre de l’œuvre. Le premier sens accordé à cette teinte est le vide affectif. Magenta est l’expression du besoin de liens et d’amour du personnage principal, Nourou. Le jeune homme sorti d’un hymen ministériel, a droit à tous les privilèges que lui confère « son ADN estampillé du logo » familial : une immense chambre, des vêtements à la marque du crocodile, des cours de golf, des vacances en Europe, un domestique pour le servir et un nom qui lui ouvre les écluses d’un avenir brillant. Pourtant dans ce frêle cœur de seize ans s’est installé un poison qui annihile toute…
Pour lire l’intégralité de son compte-rendu cliquez ici : Sokhna Diarra Bousso Ndao
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