Plus nous avançons dans nos rencontres pour parler des livres de la sélection du Jifa Bookclub, plus je comprends que prendre le temps de revenir sur une lecture est finalement très enrichissant. Nous avons tous aimé l’autobiographie pas pour les mêmes raisons, c’est çà qui est très drôle. Mais il y’a trois de nos invités qui n’ont pas accroché, ils ne connaissaient pas du tout Wangari Maathai et n’ont pas été sensibles à son parcours.
Nous avons échangé à deux reprises au sujet de “Celle qui plante les arbres (Unbowed a memoir)“, les 26 mars et le 23 avril 2021. Nous avons tous aimé l’autobiographie pas pour les mêmes raisons, c’est çà qui est très drôle. Mais il y’a trois de nos invités qui n’ont pas accroché, ils ne connaissaient pas du tout Wangari Maathai et n’ont pas été sensible à son parcours. Nous croisons les doigts pour que cet été nous soyons sortis du Covid-19 et des distanciations pour continuer à parler de ce livre mais cette fois en face les uns des autres.
A propos de l’ouvrage
Genre : Autobiographie
Année de publication : 2007
Nombre de pages : 380 pages
Éditeur : Héloïse d’Ormesson
Collection : J’ai Lu
Traduction : Isabelle Taudière
Précédentes éditions : Knopf (2006) ; Anchor (2007)
Pour (re)découvrir la kényane Wangari Maathai, voici quelques éléments que vous pouvez consulter en cliquant sur les intitulés en italique pour accéder aux articles du blog.
Présentation de l’éditeur : Celle qui plante les arbres
Premiers paragraphes : Incipit
Extraits de l’ouvrage : Page 31
Revue : Flore Cercellier sur le site Colibris Le mouvement
Podcast : épisode 10 My African Clichés
Bougie : Anniversaire Wangari Maathai
Si vous avez une revue à proposer sur l’autobiographie, écrivez-nous via le formulaire de contact et/ou sur Whatsapp 00 33 7 56 88 03 14
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